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Synonymes du mot 
USÉ → AMINCI - AVACHI - BANAL - BLESSÉ - CLASSIQUE - COMMUN - CONNU - COURANT - COUTUMIER - DÉCHIRÉ - DÉFRAÎCHI - DÉLABRÉ - ÉCULÉ - ÉGRATIGNÉ - ÉLIMÉ - EMBAUCHÉ - EMPLOYÉ - ÉRAFLÉ - ÉRAILLÉ - FAMILIER - FATIGUÉ - FRIPÉ - HABITUEL - MITEUX - ORDINAIRE - ORTHODOXE - RÂPÉ - REBATTU - RÉCHAUFFÉ - RESSASSÉ - TRADITIONNEL - TRIVIAL - USAGÉ - USITÉ - USUEL - VULGAIRE -
- adj. Détérioré, diminué par le frottement, ruiné.
- adj. (Figuré) Émoussé.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe user.
- adj. (Figuré) Qui a été employé souvent, rebattu.
- n. (Philatélie) Partie d’un timbre plus mince que le reste.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe amincir.
- n. Partie d’un fusil où le métal est plus mince.
- adj. Mou ; sans vigueur ; incapable de faire un effort.
- v. Participe passé masculin singulier de avachir.
- adj. Déformé, en parlant d’un vêtement ou d’une chaussure.
- adj. (Féodalité) Se disait au Moyen Âge des choses appartenant à un seigneur, et dont les paysans se servaient en échange d’une redevance.
- adj. (Figuré) Qui se met à la disposition de tout le monde.
- adj. Commun, très employé, trivial, ordinaire.
- adj. (Droit) Commun, en parlant de biens dont le public a la jouissance.
- adj. Qui a subi une ou des blessures.
- n.m. (Substantif de l’adjectif) Personne qui a subi une ou des blessures.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe blesser.
- adj. (Figuré) Qui est atteint dans son honneur, dans son orgueil.
- n.m. Ce qui est courant ou banal.
- adj. Qui se rapporte à une période considérée comme particulièrement brillante ou équilibrée, et qui a servi de référence à des époques ultérieures.
- adj. (Familier) Courant, banal.
- n.f. Compétition sportive ayant une grande renommée.
- n.m. Partisan du classicisme.
- n.m. Œuvre assez ancienne et ayant exercé une grande influence.
- n.m. (Équitation) Course hippique de très haut niveau.
- adj. Sans préjuger de la brillance des époques antérieures ou postérieures, se dit en particulier des œuvres, des auteurs, des écoles de la période qui va du XVII…
- adj. Se dit généralement d’un auteur à qui l’excellence ou le temps ont donné autorité.
- n.m. Auteur de référence.
- n.m. Musique classique.
- adj. Qui relève d’une certaine esthétique, le classicisme, caractérisée par la recherche de l’équilibre et de la sobriété.
- adj. Traditionnel et sans extravagance.
- adj. (Géométrie) Ce qui appartient à la fois à deux figures que l’on compare.
- n.m. (Liturgie) L’office général des apôtres, des martyrs, etc., pour qui l’église n’a point réglé d’office particulier.
- n.m. (Électronique) potentiel, souvent nul, partagé entre plusieurs composants.
- n.m. (Économie) Ressource commune partagée suivant certains droits établis par une structure de gouvernance.
- adj. (Droit) Relatif à une communauté de biens.
- adj. Répandu et abondant ; fréquent ; courant.
- adj. Général ; ordinaire ; habituel ; moyen ; qui appartient ou peut appartenir à la plupart des hommes ou à un grand nombre d’hommes.
- n.m. Peuple.
- adj. (Linguistique) Qualifie les mots, les termes ordinaires d’une langue, par opposition à ceux qui ne sont usités que dans les arts et dans les sciences.
- adj. (En particulier) Mutuel, réciproque.
- adj. (Linguistique) Qualifie la langue qui est parlée le plus généralement dans un pays, ou parfois sert de langue d’échange (koiné).
- adj. (En particulier) (Mathématiques) Propriété valable pour plusieurs nombres ou entités.
- adj. Qui sert, qui peut servir à tout le monde ou seulement à plusieurs personnes.
- adj. De peu de valeur et d’une qualité médiocre.
- adj. Public, collectif.
- n.m. (Grammaire) Genre présent dans certaines langues, particulièrement germaniques, exprimant que la terminaison est la même au masculin et au féminin.
- n.m. Société entre deux ou plusieurs personnes.
- adj. Qui est médiocre, qui ne sort pas de l’ordinaire, qui est peu estimable dans son genre.
- adj. Partagé par différents êtres ou par différentes choses.
- n.m. Le plus grand nombre, la plus grande partie.
- n.m. (Au pluriel) Bâtiments annexes qui servent aux cuisines, aux garages, aux écuries et généralement aux différentes parties du service.
- adj. Vulgaire, bas, par opposition à noble, distingué.
- adj.m. Dont on a connaissance.
- v. Participe passé masculin singulier de connaître (ou connaitre).
- n.m. Les choses que l’on connaît, par opposition à celles qu’on ignore.
- v. Participe présent de courir.
- n.m. (Figuré) Flux de personnes ou de choses.
- adj. Qui est commun, ordinaire.
- n.m. (Figuré) L’ordinaire, ce qui est usuel.
- n.m. (Figuré) Quantité d’affaires que l’on traite ou dont on est chargé.
- adj. (Banque) D’usage quotidien.
- n.m. Période actuelle.
- n.m. Déplacement ordonné d’un fluide.
- adj. (Héraldique) Se dit d’un animal représenté les pattes étendues.
- n.m. Sous-ensemble d’une organisation, d’un parti politique.
- adj. Qui a cours.
- adj. Qui court.
- adj. (Imprimerie) Qualifie ce qui est mis en haut des pages d’un livre, d’un chapitre, pour indiquer le sujet dont il traite.
- n.m. (Finance) Terme qui court.
- n.m. (Électricité) (Par ellipse) Courant électrique (passage de l’électricité à travers un conducteur) voire l’intensité d’un courant électrique.
- adj. (Finance) Qui n’est pas encore dû.
- adj. Qui est présent, actuel, en parlant d’années, de mois, etc.
- n.m. (Navigation) (Matelotage) Extrémité d’une corde servant à faire un nœud.
- prép. Au cours de.
- n.m. Ensemble d’idées, d’opinions qui s’emparent du plus grand nombre des esprits et entraînent les autres.
- adj. (Vieilli) Qui a coutume de faire quelque chose, habitué à.
- adj. (Histoire) (Droit) Relatif à la coutume.
- n.m. Recueil des coutumes d’une province ou d’un pays.
- adj. (Littéraire) Qui est habituel.
- v. Participe passé masculin singulier de déchirer.
- adj. Qui a perdu son apparence primitive, sa fraîcheur, son éclat.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe défraîchir.
- adj.m. En mauvais état, en parlant d’une chose, d’une construction.
- v. Participe passé masculin singulier de délabrer.
- adj.m. (En parlant de chaussures) Dont le talon est usé ou déformé.
- v. Participe passé masculin singulier de éculer.
- adj.m. (Figuré) Démodé, passé.
- adj. Qui a une égratignure.
- v. Participe passé masculin singulier de égratigner.
- adj. Se dit d’une étoffe ou d’un vêtement en tissu qui a été usé par frottement à force d’avoir été porté.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe élimer.
- v. Participe passé masculin singulier de embaucher.
- n.m. Personne rétribuée pour produire un travail au sein d’une entreprise ou d’une administration.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe employer.
- n.m. (Spécialement) Personne, dans une entreprise, ne faisant pas partie des cadres et effectuant un travail intellectuel.
- v. Participe passé masculin singulier de érafler.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe érailler.
- adj. (Vieilli) (Désuet) Qui est de la famille.
- adj. (Par extension) Qui est devenu facile, aisé, par la pratique, l’habitude.
- adj. Qui est considéré comme appartenant à la famille.
- adj. (Par extension) Qui se comporte librement à l’égard de quelqu’un, surtout en parlant des choses.
- n.m. (Mythologie) (Fantastique) Créature supposée entretenir un rapport mystique avec un magicien ou sorcier.
- n.m. Personne très proche dans ses habitudes et ses fréquentations.
- adj. Qui vit dans l’intimité de quelqu’un.
- adj. (Par extension) (Linguistique) Qui se dit dans la conversation, qui ne convient qu’à la conversation, en parlant de la langue parlée, par opposition à la langue écrite.
- adj. Qualifie les choses que l’on reconnaît aisément pour les avoir vues souvent.
- adj. Qui a rapport à l’intimité d’une personne avec une autre, en parlant des choses.
- adj. Qualifie les choses devenues ordinaires ou habituelles.
- v. Participe passé masculin singulier de fatiguer.
- adj.m. Qui a besoin de repos.
- adj.m. (Provence) Malade.
- adj.m. (Familier) (Par animisme) Usé, usagé.
- adj.m. (Littéraire) (Par animisme) En mauvais état, en raison d’une longue existence et d’un manque d’entretien.
- adv. (Afrique) Assez, trop.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe friper.
- adj.m. Qui est devenu une habitude, qui est passé en habitude.
- adj. Qui a l’apparence misérable.
- n.m. (Populaire) Personne d’apparence misérable.
- n.m. (Vieilli) Courrier qui partait et arrivait à jours fixes.
- adj. Médiocre, dont les manières laissent à désirer.
- n.m. Ce qu’on a coutume de faire, ce qu’on a coutume d’être.
- n.f. Essence ordinaire, par opposition au super et au diésel.
- n.m. (Religion catholique) Évêque diocésain, autorité diocésaine.
- n.m. (Cuisine) (Militaire) Cantine militaire où les militaires du rang prennent leurs repas.
- n.m. (Administration) Fonds établi pour payer la Maison du roi, les commissaires des guerres et les compagnies de gendarmerie.
- adj. (Histoire) Il s’est dit des officiers de la maison du roi, qui remplissaient leurs fonctions toute l’année, par opposition à ceux qui servaient par quartier…
- adj. Commun ; habituel.
- n.m. (Cuisine) Ce qu’on a coutume de servir pour un repas.
- n.m. (Liturgie) Prières qui se disent tous les jours à la messe, la partie de la messe qui ne varie pas.
- adj. (Spécialement) Qui est habituel à quelqu’un.
- adj. Qui ne dépasse pas le niveau commun.
- adj. (Religion) Qui est conforme à la droite et saine opinion en matière de religion.
- adj. (Par extension) Conforme, en parlant de doctrines scientifiques, morales ou littéraires.
- n. (Religion) Fidèle de l’une des églises chrétienne orientale, par opposition à ceux de l’église catholique romaine.
- adj. (Religion) Relatif aux églises chrétiennes grecques, par opposition à ceux de l’église catholique romaine.
- v. Participe passé masculin singulier de râper.
- n.m. Boisson que l’on obtient en faisant passer de l’eau sur le marc de raisin.
- adj.m. (Cuisine) Qualifie un aliment qui est émincé par une râpe.
- adj.m. (Populaire) Raté, fini.
- adj.m. (Figuré) (Familier) Très usé.
- n.m. (Vosges) (Par métonymie) Beignet de pommes de terre râpées et trempées dans une migaine, puis frites.
- n.m. Fromage râpé.
- adj.m. (Populaire) (Désuet) Qualifie une personne qui porte des vêtements usés et qui a l’air misérable.
- n.m. Raisin nouveau qu’on met dans un tonneau pour améliorer le vin quand il va se gâter, ou vin ainsi traité.
- adj. Usé, banal, trop entendu, cliché, se dit d’un lieu commun.
- v. Participe passé masculin singulier de rebattre.
- adj. (Héraldique) Qui présente un rebattement, la répétition de partitions simples ou de pièces simples.
- n.m. (Figuré) et (Familier) Chose qui est loin d’être neuve.
- adj. Qui a été chauffé après avoir été refroidi.
- n.m. (Péjoratif) Chose qui a été chauffée après avoir été refroidie.
- adj. Qui n’a plus froid, après avoir eu froid.
- adj. (Familier) Qui n’a pas froid, bien qu’il devrait, selon le bon sens.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe réchauffer.
- v. Participe passé masculin singulier de ressasser.
- adj.m. Qui est fondé sur la tradition.
- adj.m. (Par extension) Habituel.
- adj.m. (Par extension) Classique (par opposition à quelque chose de nouveau, souvent utilisé en publicité).
- adj.m. (Plus rare) Qui est attaché à la tradition.
- adj.m. Qui est extrêmement commun, usé, rebattu ; il ne se dit guère que des pensées et des expressions.
- adj.m. (Par extension) Qui est facile, aisé.
- adj.m. Qui est vulgaire, grossier.
- adj.m. Sans grande importance.
- adj. Qui a servi, qui n’est plus neuf.
- adj. (Vieilli) (Désuet) Qui a de l’usage, de bonnes manières.
- adj. Qui porte les marques de l’usage qu’on en a fait.
- adj. Qui est en usage, qui est pratiqué communément.
- v. Participe passé masculin singulier de usiter.
- adj. Qualifie particulièrement l’usage des mots et des locutions.
- adj. Dont on se sert ordinairement ; qui est d’usage ordinaire.
- adj. (Spécialement) (Commerce) Dont la pratique est courante et constante.
- adj. Qui a un comportement, un langage sans délicatesse, sans éducation, grossier ou qui fait preuve d’une grande grossièreté.
- adj. (Désuet) Qui concerne le peuple, le quidam, le personnage quelconque.
- adj. (Vieilli) Qui est trivial, commun, voire quelconque. — Note : S’emploie encore aujourd’hui mais le plus souvent devant le nom qu’il qualifie.
- adj. (Vieilli) Qui est commun, qui est reçu communément.
- n.m. (Désuet) Langue vulgaire (par opposition à langue savante).
- adj. (En particulier) (Linguistique) (Didactique) Que le peuple parle à l’époque considérée.
- n.m. (Vieilli) (Au singulier) Le peuple ; le commun des hommes.
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