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n.f. Naïveté, trop grande facilité à croire, à se laisser tromper.
n.f. Qualité de ce qui n’est pas composé.
n.f. Caractère de ce qui est sans apprêt, sans recherche.
n.f. Qualité de ce qui est sans détours, sans déguisement.
n.f. Caractère de ce qui n’est pas compliqué.
n.f. Liberté de corps et d’esprit dans le travail, dans les mouvements, dans les manières, dans le commerce de la vie.
n.f. Lieu pratiqué dans une maison pour y satisfaire les besoins naturels.
n.f. (Par extension) État de fortune suffisant pour se procurer les commodités de la vie.
n.f. Qualité d’une personne aimable.
n.f. (Au pluriel) Les signes par lesquels elle se manifeste.
n.f. On dit quelquefois avec le singulier, dans la même acception, faire amitié à quelqu’un.
n.f. Sentiment réciproque qui engage deux personnes l’une envers l’autre.
n.f. Affection que certains animaux ont pour les êtres humains.
n.f. (Vieux français, français classique) Paroles obligeantes, qui marquent de l’affection.
n.f. (Familier) Bon office ; service.
v. Première personne du singulier du subjonctif présent de bêtiser.
n.f. Défaut d’intelligence, de jugement, de bon sens, ou des notions les plus communes.
v. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de bêtiser.
n.f. (Familier) Action, propos bête.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de bêtiser.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent de bêtiser.
v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de bêtiser.
n.f. Manière d’être et d’agir qui laisse voir la bonté du cœur unie à la simplicité extérieure, même dans les moindres choses.
n.f. (Dans un sens défavorable) Simplicité excessive, extrême crédulité.
n.f. Simple bienveillance ; pure politesse.
n.f. Qualité de ce qui est bon.
n.f. (En parlant d’une femme) Égard.
n.f. Justice.
n.f. (Au pluriel) Termes de politesse.
n.f. (Au pluriel) Actes de bienveillance.
n.f. Qualité morale qui porte à être doux, facile, indulgent, à faire du bien.
n.f. (Vieilli) Simplicité et trop grande naïveté.
n.f. Familiarité, union qui existe entre camarades.
n.f. Sorte d’entente qui existe entre diverses personnes unies par des rapports d’âge, d’amitié, de profession ou d’intérêts pour se soutenir et se prôner mutuellement.
n.f. Affection dont les manifestations attestent la sincérité, la vivacité.
n.f. Facilité à croire sur un fondement très léger ou sans fondement.
n.f. Tournure, tenue pleine d’aisance et de laisser-aller.
n.f. Manière trop libre d’agir, de se comporter à l’égard de quelqu’un.
n.f. Réserve, retenue, dans les actions et dans les paroles.
n.f. Droit ou pouvoir qu’on a de décider.
n.f. (Jeux) Ce qu’on gage ou ce qu’on joue, sans le déterminer précisément, et qu’on laisse à la volonté soit de celui qui gagne, soit de celui qui perd.
n.f. (En particulier) Qualité qui consiste à garder un secret.
n.f. (Par extension) Paroles aimables et particulièrement des paroles galantes qu’un homme adresse à une femme pour tâcher de lui plaire, de s’en faire aimer.
n.f. Qualité de ce qui est doux ; la chose même qui a cette qualité. — Note : S’emploie au propre et au figuré.
n.f. (En particulier) (Absolument) Façon d’agir douce et éloignée de toute sorte de violence.
n.f. (Par extension) (Au pluriel) Les friandises propres à flatter le goût.
n.f. (Par analogie) (Au pluriel) Choses morales qui flattent l’âme, l’esprit, comme les substances douces flattent le goût.
n.f. État de celui qui est ignorant ; celui qui ne connaît rien.
n.f. (Par extension) Fautes qui marquent une ignorance grossière.
n.f. Franchise pleine de simplicité et quelquefois mêlée de naïveté.
n.f. État de celui qui n’est pas coupable.
n.f. Qui n’est pas malfaisant, qui ne nuit pas.
n.f. État de celui qui a l’esprit faible, borné.
n.f. État, qualité de celui qui ne commet pas le mal sciemment, qui est pur et candide.
n.f. Qualité de ce qui est intime.
n.f. (En particulier) Partie généralement cachée de l’anatomie d’un individu, notamment les parties génitales.
n.f. (Par extension) Caractère de confiance réciproque des relations sociales.
n.f. Pouvoir inaliénable de l’individu, droit qu’il a de disposer de sa personne ; capacité des individus et des organisations qu’ils forment à agir sans restrictions…
n.f. Possibilité qu’a en pratique une personne, un animal, ou parfois une chose, de penser sans contraintes, d’agir selon son bon vouloir, de se mouvoir sans contrainte.
n.f. Permission.
n.f. Chacun des droits qu’un tel pouvoir implique.
n.f. Vertu qui porte à garder une sage mesure en toutes choses.
n.f. Adoucissement, mitigation.
n.f. (Vieilli) Retranchement, diminution d’un prix ou d’une taxe.
n.f. Retenue dans la manière de penser et de parler de soi.
n.f. (Quelquefois) Pudeur, décence.
n.f. Ingénuité, simplicité d’une personne qui manifeste naturellement ses opinions et ses sentiments.
n.f. Simplicité niaise ou défaut de retenue dans l’expression de sentiments qu’on aurait intérêt à cacher.
n.f. Propos, expressions qui échappent par ignorance.
n.f. Simplicité naturelle et gracieuse avec laquelle une chose est exprimée ou représentée selon la vérité ou la vraisemblance.
n.m. Habitant originaire d’un pays, spécialement d’un pays peu civilisé.
adj.m. Qui s’offre d’abord à l’esprit.
adj.m. Qui est conforme à la nature particulière de chaque espèce, de chaque individu, de chaque chose.
adj.m. Pur, non contrefait.
adj.m. (Musique) Simple, qui n’est affectée ni d’un dièse, ni d’un bémol.
adj.m. (Mathématiques) Qualifie les entiers positifs (plus grands que zéro).
adj.m. Dessiné par la configuration du sol, par opposition à un tracé résultant de conventions diplomatiques.
adj.m. Qui est conforme à la raison ou à l’usage commun.
adj.m. Qualifie les sentiments inspirés par les liens du sang, la naissance, le milieu où l’on vit.
adj.m. Ce qui est produit par la nature seule, par opposition à ce qui a été fait par l’homme, à ce qui est artificiel.
adj.m. Qui est conforme au tempérament, aux penchants innés d’un individu.
adj.m. Qui est relatif à la nature, à l’ensemble des êtres et des choses, à l’ordre qui les régit.
adj.m. Qualifie ce que nous faisons en conséquence de nos habitudes.
adj.m. Qui est sans affectation, sans contrainte, sans effort.
adj.m. Se dit, à la forme négative, d’une chose où l’on soupçonne quelque tromperie.
adj.m. Ce qui est conforme aux lois de la nature, par opposition à surnaturel.
adj.m. Ce qui est suit le cours spontané des choses, par opposition à artificiel ou forcé.
n.m. Facilité, aisance avec laquelle on fait une chose, avec laquelle une chose est faite, par opposition à l’art, l’affectation.
n.m. Inclination, humeur, tendances qui caractérisent un individu, qu’il apporte en naissant.
adj.m. Se dit des qualités intellectuelles ou morales qui viennent de la nature seule, qui sont innées, par opposition à ce qui est acquis, cultivé, factice.
n.f. Caractère d’une personne, d’une conduite ou d’une parole niaise.
n.f. (Péjoratif) Petites choses, objets dénués de valeur, des breloques, des riens ; colifichets, pacotille, bijoux bon marché.
n.f. (Québec) Connerie.
n.f. (Généralement au pluriel) Futilité, fadaise, baliverne, conte.
n.f. (Physique) Relation entre des poids ou des puissances qui s’équilibrent mutuellement.
n.f. (Figuré) Juste équilibre.
n.f. Modération, état de ce qui est pondéré, bien équilibré.
n.f. (Peinture) (Sculpture) Balancement des masses ; équilibre des figures.
n.f. (Par extension) Justesse et délicatesse, dans la littérature, dans les arts.
n.f. Qualité d’une chose qui est pure et sans mélange.
n.f. (Style & langage) Exactitude dans le choix, l’emploi et l’arrangement des termes et des phrases.
n.f. (Figuré) Intégrité, droiture, innocence, exemption d’altération, de corruption, de souillure.
n.f. (En particulier) Chasteté.
n.f. (Beaux-Arts) Correction, exactitude du trait.
n.f. (Logistique) Stock de proximité.
n.f. Choses réservées.
n.f. (Forêts) Canton de bois qu’on laisse croître en futaie et dont la coupe est réservée.
n.f. (Bibliothèque) Ensemble de livres précieux qui sont classés à part et qui ne sont communiqués que dans certaines conditions.
n.f. (Comptabilité) Montants du cumul des bénéfices des exercices antérieurs d’une entreprise, ni redistribués, ni intégrés dans son capital.
n.f. (Arts) Parties qu’on laisse en blanc dans certains procédés comme l’aquarelle et le lavis.
n.f. (Courant) Absence de certitude ou de garantie.
n.f. (Canada) (États-Unis) (Politique) Territoire à régime politique, administratif et fiscal distinct réservé à une tribu amérindienne par le gouvernement fédéral.
n.f. (Architecture) Pièce affectée à la conservation d’aliments.
v. Première personne du singulier du subjonctif présent de réserver.
n.f. (Cartographie) Partie d’une planche de rédaction ou d’impression où l’image est absente ou protégée, réalisée généralement à l’aide d’un masque.
n.f. (Automobile) Petite quantité d’essence au fond du réservoir, permettant de rouler malgré le voyant indiquant qu’il est presque vide.
n.f. (Chasse) Canton qui est réservé pour celui à qui la chasse appartient.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de réserver.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent de réserver.
n.f. Bassin d’eau de mer dans lequel on conserve des poissons et des crustacés vivants.
n.f. (Militaire) (Par ellipse) Troupe que le chef d’une armée maintient à distance de la ligne de combat.
n.f. Action de réserver, de mettre de côté.
n.f. (Droit) Précision, limite d’interprétation d’un acte.
n.f. (Écologie) Territoire, réservé pour la conservation de certains animaux et de certaines plantes.
n.f. Restriction en vue de certaines éventualités qu’on ne peut prévoir ou qu’on ne veut pas préciser.
n.f. (Militaire) Portion des forces militaires d’un pays qui, en temps de paix, n’est pas maintenue sous les drapeaux ou n’y est est appelée que pour des périodes…
v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de réserver.
v. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de réserver.
adj. Féminin singulier de retenu.
n.f. Réservoir où l’on retient de l’eau.
n.f. Action de retenir.
n.f. (École) Privation de sortie, infligée à un écolier comme punition de quelque faute.
n.f. (Finance) (Comptabilité) Ce qu’on retient, en vertu de la loi ou d’une stipulation convenue, sur un traitement, un salaire, ou sur une rente.
v. Participe passé féminin singulier de retenir.
n.f. (Figuré) Action de se retenir, modération, discrétion, modestie.
n.f. (Mathématiques) Chiffre, le nombre que l’on retient.
n.f. Espace entre deux écluses où l’eau est retenue.
n.f. État de ce qui est rustique, champêtre.
n.f. (Agriculture) (Élevage) Qualité qu’ont certaines plantes cultivées ou certains animaux domestiques de ne pas craindre les intempéries.
n.f. Rudesse, grossièreté.
n.f. Croyance irraisonnée fondée sur la crainte ou l’ignorance qui prête un caractère surnaturel ou sacré à certains phénomènes, à certains actes, à certaines paroles.
n.f. (En particulier) Vain présage qu’on tire de certains accidents qui sont purement fortuits.
n.f. (Figuré) Attention excessive apportée à des détails, au détriment du sens. [Tout excès d’exactitude, de soin, en quelque matière que ce soit.].
n.f. (Au pluriel) Pratiques inspirées par cette croyance.
n.f. État d’une personne vierge.
n.f. (Littéraire) Pureté morale.
n.f. (Figuré) (Plus rare) État d’une région, ou d’un lieu, vierge de la présence humaine.
n.f. (Plus rare) État d’une femelle qui n’est pas et ne fut jamais fécondée.
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