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Synonymes du mot 
REBATTU → ABRUTI - ACCOUTUMÉ - ARRIÉRÉ - BANAL - CANAILLE - COMMUN - CONNU - COURANT - COUTUMIER - ÉCULÉ - EFFRONTÉ - ENCROÛTÉ - ÉPAIS - FATIGUÉ - GROSSIER - HABITUEL - ORDINAIRE - POPULACIER - RÉCHAUFFÉ - RESSASSÉ - ROUTINIER - TRIVIAL - USÉ - VULGAIRE -
- adj. Usé, banal, trop entendu, cliché, se dit d’un lieu commun.
- v. Participe passé masculin singulier de rebattre.
- adj. (Héraldique) Qui présente un rebattement, la répétition de partitions simples ou de pièces simples.
- adj. Physiquement, moralement ou intellectuellement diminué par le bruit, la chaleur, la fatigue, etc.
- n.m. (Familier) Personne complètement stupide.
- v. Participe passé masculin singulier de abrutir.
- adj. (Familier) Bête ; stupide ; inconscient.
- adj. Habitué.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe accoutumer.
- adj. Habituel.
- n.m. (Finance) Toute portion d’une dette quelconque dont le paiement a été retardé.
- adj. Qui est en retard.
- n.m. (Finance) Dettes de l’État dont le paiement est retardé.
- adj. Qui ne correspondent plus aux idées courantes, qui sont d’une autre époque.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe arriérer.
- n.m. (Médecine) Personne dont le développement intellectuel ne correspond pas à son âge.
- adj. (Figuré) Qui a fait moins de progrès que les autres.
- n.m. (Par extension) Partie d’un travail, d’une tâche, que l’on n’a pu faire à temps.
- adj. (Féodalité) Se disait au Moyen Âge des choses appartenant à un seigneur, et dont les paysans se servaient en échange d’une redevance.
- adj. (Figuré) Qui se met à la disposition de tout le monde.
- adj. Commun, très employé, trivial, ordinaire.
- adj. (Droit) Commun, en parlant de biens dont le public a la jouissance.
- n.f. (Péjoratif) (Collectif) Vile populace.
- n.f. (Figuré) (Familier) Enfant turbulent, remuant.
- adj. Qualifie une vulgarité non naturelle, chien.
- n.f. (Par extension) Gens de toutes conditions auxquels on veut témoigner du mépris. — Note : Dans ce cas il peut s’appliquer à une seule personne.
- adj. (Géométrie) Ce qui appartient à la fois à deux figures que l’on compare.
- n.m. (Liturgie) L’office général des apôtres, des martyrs, etc., pour qui l’église n’a point réglé d’office particulier.
- n.m. (Électronique) potentiel, souvent nul, partagé entre plusieurs composants.
- n.m. (Économie) Ressource commune partagée suivant certains droits établis par une structure de gouvernance.
- adj. (Droit) Relatif à une communauté de biens.
- adj. Répandu et abondant ; fréquent ; courant.
- adj. Général ; ordinaire ; habituel ; moyen ; qui appartient ou peut appartenir à la plupart des hommes ou à un grand nombre d’hommes.
- n.m. Peuple.
- adj. (Linguistique) Qualifie les mots, les termes ordinaires d’une langue, par opposition à ceux qui ne sont usités que dans les arts et dans les sciences.
- adj. (En particulier) Mutuel, réciproque.
- adj. (Linguistique) Qualifie la langue qui est parlée le plus généralement dans un pays, ou parfois sert de langue d’échange (koiné).
- adj. (En particulier) (Mathématiques) Propriété valable pour plusieurs nombres ou entités.
- adj. Qui sert, qui peut servir à tout le monde ou seulement à plusieurs personnes.
- adj. De peu de valeur et d’une qualité médiocre.
- adj. Public, collectif.
- n.m. (Grammaire) Genre présent dans certaines langues, particulièrement germaniques, exprimant que la terminaison est la même au masculin et au féminin.
- n.m. Société entre deux ou plusieurs personnes.
- adj. Qui est médiocre, qui ne sort pas de l’ordinaire, qui est peu estimable dans son genre.
- adj. Partagé par différents êtres ou par différentes choses.
- n.m. Le plus grand nombre, la plus grande partie.
- n.m. (Au pluriel) Bâtiments annexes qui servent aux cuisines, aux garages, aux écuries et généralement aux différentes parties du service.
- adj. Vulgaire, bas, par opposition à noble, distingué.
- adj.m. Dont on a connaissance.
- v. Participe passé masculin singulier de connaître (ou connaitre).
- n.m. Les choses que l’on connaît, par opposition à celles qu’on ignore.
- v. Participe présent de courir.
- n.m. (Figuré) Flux de personnes ou de choses.
- adj. Qui est commun, ordinaire.
- n.m. (Figuré) L’ordinaire, ce qui est usuel.
- n.m. (Figuré) Quantité d’affaires que l’on traite ou dont on est chargé.
- adj. (Banque) D’usage quotidien.
- n.m. Période actuelle.
- n.m. Déplacement ordonné d’un fluide.
- adj. (Héraldique) Se dit d’un animal représenté les pattes étendues.
- n.m. Sous-ensemble d’une organisation, d’un parti politique.
- adj. Qui a cours.
- adj. Qui court.
- adj. (Imprimerie) Qualifie ce qui est mis en haut des pages d’un livre, d’un chapitre, pour indiquer le sujet dont il traite.
- n.m. (Finance) Terme qui court.
- n.m. (Électricité) (Par ellipse) Courant électrique (passage de l’électricité à travers un conducteur) voire l’intensité d’un courant électrique.
- adj. (Finance) Qui n’est pas encore dû.
- adj. Qui est présent, actuel, en parlant d’années, de mois, etc.
- n.m. (Navigation) (Matelotage) Extrémité d’une corde servant à faire un nœud.
- prép. Au cours de.
- n.m. Ensemble d’idées, d’opinions qui s’emparent du plus grand nombre des esprits et entraînent les autres.
- adj. (Vieilli) Qui a coutume de faire quelque chose, habitué à.
- adj. (Histoire) (Droit) Relatif à la coutume.
- n.m. Recueil des coutumes d’une province ou d’un pays.
- adj. (Littéraire) Qui est habituel.
- adj.m. (En parlant de chaussures) Dont le talon est usé ou déformé.
- v. Participe passé masculin singulier de éculer.
- adj.m. (Figuré) Démodé, passé.
- adj. Qui n’a honte de rien.
- n.m. Personnage sans honte de rien.
- adj. (Par extension) Qui indique ce tempérament.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe encroûter.
- adj. (Péjoratif) Vieilli, inerte, au point de ne pouvoir ou vouloir changer ou bouger.
- n.m. (Québec) Imbécile.
- adj. (Figuré) (Littéraire) Lourd ; grossier ; lent à comprendre.
- adj. Qui a une certaine mesure dans la dimension transversale.
- adj. Qui a une grande consistance, une grande densité.
- adv. Avec densité, d’une manière serrée.
- adj. Fort, solide.
- n.m. (Vieilli) Épaisseur.
- adj. (Botanique) Se dit de toutes les parties dont l’épaisseur, comparée à celles d’organes analogues, est plus grande que ne semblerait le comporter leur étendue.
- adj. Nombreux, serré, touffu.
- adj. (Québec) (Courant) (Familier) Imbécile. → voir épais dans le plus mince.
- v. Participe passé masculin singulier de fatiguer.
- adj.m. Qui a besoin de repos.
- adj.m. (Provence) Malade.
- adj.m. (Familier) (Par animisme) Usé, usagé.
- adj.m. (Littéraire) (Par animisme) En mauvais état, en raison d’une longue existence et d’un manque d’entretien.
- adv. (Afrique) Assez, trop.
- adj. (Figuré) Ce qui suppose beaucoup d’ignorance, de sottise, de déraison ou de maladresse.
- adj. Qui n’est pas fin, qui n’est pas délicat.
- adj. (Figuré) Qui a de la rudesse, qui manque de culture, d’éducation.
- adj. Malhonnête, incivil.
- adj. Qui n’est pas fait avec délicatesse, avec soin.
- adj.m. Qui est devenu une habitude, qui est passé en habitude.
- n.m. (Vieilli) Courrier qui partait et arrivait à jours fixes.
- adj. Médiocre, dont les manières laissent à désirer.
- n.m. Ce qu’on a coutume de faire, ce qu’on a coutume d’être.
- n.f. Essence ordinaire, par opposition au super et au diésel.
- n.m. (Religion catholique) Évêque diocésain, autorité diocésaine.
- n.m. (Cuisine) (Militaire) Cantine militaire où les militaires du rang prennent leurs repas.
- n.m. (Administration) Fonds établi pour payer la Maison du roi, les commissaires des guerres et les compagnies de gendarmerie.
- adj. (Histoire) Il s’est dit des officiers de la maison du roi, qui remplissaient leurs fonctions toute l’année, par opposition à ceux qui servaient par quartier…
- adj. Commun ; habituel.
- n.m. (Cuisine) Ce qu’on a coutume de servir pour un repas.
- n.m. (Liturgie) Prières qui se disent tous les jours à la messe, la partie de la messe qui ne varie pas.
- adj. (Spécialement) Qui est habituel à quelqu’un.
- adj. Qui ne dépasse pas le niveau commun.
- adj. Qui appartient, qui est propre à la populace.
- n.m. (Figuré) et (Familier) Chose qui est loin d’être neuve.
- adj. Qui a été chauffé après avoir été refroidi.
- n.m. (Péjoratif) Chose qui a été chauffée après avoir été refroidie.
- adj. Qui n’a plus froid, après avoir eu froid.
- adj. (Familier) Qui n’a pas froid, bien qu’il devrait, selon le bon sens.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe réchauffer.
- v. Participe passé masculin singulier de ressasser.
- n.m. Celui, celle qui agit par routine, qui se conforme à la routine, qui refuse de suivre le progrès.
- adj. Qui relève de la routine.
- adj.m. Qui est extrêmement commun, usé, rebattu ; il ne se dit guère que des pensées et des expressions.
- adj.m. (Par extension) Qui est facile, aisé.
- adj.m. Qui est vulgaire, grossier.
- adj.m. Sans grande importance.
- adj. Détérioré, diminué par le frottement, ruiné.
- adj. (Figuré) Émoussé.
- v. Participe passé masculin singulier du verbe user.
- adj. (Figuré) Qui a été employé souvent, rebattu.
- adj. Qui a un comportement, un langage sans délicatesse, sans éducation, grossier ou qui fait preuve d’une grande grossièreté.
- adj. (Désuet) Qui concerne le peuple, le quidam, le personnage quelconque.
- adj. (Vieilli) Qui est trivial, commun, voire quelconque. — Note : S’emploie encore aujourd’hui mais le plus souvent devant le nom qu’il qualifie.
- adj. (Vieilli) Qui est commun, qui est reçu communément.
- n.m. (Désuet) Langue vulgaire (par opposition à langue savante).
- adj. (En particulier) (Linguistique) (Didactique) Que le peuple parle à l’époque considérée.
- n.m. (Vieilli) (Au singulier) Le peuple ; le commun des hommes.
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