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n.f. Honte honnête, mouvement excité par l’appréhension de ce qui blesse ou peut blesser la décence, la modestie, l’honnêteté.
n.f. Discrétion, retenue ou délicatesse qui empêche de dire, d’entendre ou de faire certaines choses sans embarras.
n.f. Action de s’abstenir.
n.f. (Spécialement) (Religion) Privations ordonnées par l’Église.
n.f. (Absolument) Action de s’abstenir du boire et du manger.
n.f. (Droit) Arrestation.
n.f. Action de saisir les choses par l’esprit.
n.f. Crainte.
n.f. (Droit) Action de soustraire, de saisir.
n.f. (Logique) Idée qu’on prend d’une chose sans en porter alors aucun jugement.
n.m. Genre de vie des ascètes.
n.m. (Histoire) Droit de péage sur les voitures et les bêtes de somme, pour l’entretien des routes.
n.m. Barrière qui ferme un chemin.
n.m. (Figuré) Obstacle imprévu. Opposition déterminée, concertée, en vue d’empêcher quelque chose.
n.m. Constructions qui opposent un obstacle à un cours d’eau et qui ont pour objet de retenir l’eau, d’en élever le niveau, d’empêcher les inondations ou d’obtenir…
n.m. (Psychologie) Pause de quelques secondes en plein milieu de la conversation et reprise comme si rien ne s’était passé. Lié à la schizophrénie.
n.m. (Équitation) Dans certaines épreuves de sauts d’obstacles, parcours supplémentaire destiné à départager les ex æquos ayant fait un sans-faute.
n.m. Rochers qui barrent une rivière.
n.m. (Commerce) (Vieilli) (Désuet) Linge ouvré.
n.f. État de celui qui s’abstient en amour de tout plaisir illicite.
n.f. Entière abstinence des plaisirs de l’amour.
n.f. (Par extension) (Figuré) Image de pureté des choses.
n.f. Abstinence par rapport aux plaisirs des sens.
n.f. Susceptibilité, facilité à s’offenser, à se choquer.
n.f. (Figuré) Sensibilité, aptitude à juger finement de ce qui regarde les sens ou l’esprit.
n.f. Qualité de ce qui est délicat.
n.f. Qualité de ce qui est agréable au goût.
n.f. Scrupules sur ce qui touche à la probité, à la morale, aux bienséances.
n.f. (Par extension) Adresse, légèreté, soin.
n.f. Mollesse.
n.f. Faiblesse, débilité.
n.f. (Figuré) Ménagement, circonspection.
n.f. (Figuré) Ce qui est senti, pensé, fait ou exprimé d’une manière délicate.
v. Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de douter.
n.m. Incertitude sur l’existence ou la vérité d’une chose, sur la vérité ou la fausseté d’une idée.
v. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de douter.
n.m. (Philosophie) Méthode par laquelle l’esprit, suspendant son jugement, ne reçoit pour vrai que ce qu’il connaît évidemment être tel.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de douter.
v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de douter.
n.m. État d’esprit de celui qui doute des vérités de la religion.
v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de douter.
n.m. Action de prendre quelque chose en considération, d’y faire attention, d’en tenir compte.
n.m. (Histoire) Priseur de denrées, sur les marchés du nord de la France, sous l’ancien régime.
n.m. (Histoire) Tribunal compétant pour juger les différents entre les chevaliers de l’Ordre de Malte.
n.m. (Par extension) Déférence, marque d’estime, de considération. — Note : Dans cette acception on l’emploie souvent au pluriel.
n.f. Action d’hésiter, doute, indécision qu’une personne manifeste par ses mouvements, par sa conduite, etc.
n.f. Incertitude dans l’énonciation.
n.f. (Religion) (Par métonymie) Dans le langage biblique, les parties que l’on doit cacher.
n.f. (Désuet) Déshonneur, opprobre, humiliation (ce qui est le sens étymologique et ancien).
n.f. Se dit aussi au pluriel (Voltaire a condamné cet emploi ; mais, outre les autorités, la raison et l’usage n’empêchent pas d’employer ce mot abstrait au pluriel).
n.f. Sentiment pénible qu’excite dans l’âme la pensée ou la crainte du déshonneur; ou la conscience d’une faute commise et la confusion, le trouble qu’on en ressent.
n.f. (Familier) (Par hyperbole) Ce qui ne convient pas, ce qui est messéant.
n.f. Caractère d’un homme indécis, d’une femme indécise.
n.f. (Vieilli) Chose de peu d’importance.
n.f. (Anthropométrie) Point caractéristique formé par la disposition des lignes papillaires.
n.f. Application attentive aux menus détails.
n.f. Vertu qui porte à garder une sage mesure en toutes choses.
n.f. Adoucissement, mitigation.
n.f. (Vieilli) Retranchement, diminution d’un prix ou d’une taxe.
n.f. Accidents fâcheux qui arrivent dans la vie.
n.f. (Médecine et de Chirurgie) État d’un tissu ou d’un organe qui se décompose et devient comme mort.
n.f. (En particulier) (Religion) Pratique d’ascèse religieuse consistant à s’imposer une souffrance, en général physique, dans le but de progresser spirituellement.
n.f. (Cuisine) Action de garder certaines viandes pour qu’elles deviennent tendres et gagnent du fumet.
n.f. Action par laquelle on mortifie son corps ou ses passions.
n.f. (Figuré) Chagrin, humiliation qu’on fait éprouver à une personne par quelque réprimande ou par quelque procédé dur et fâcheux.
n.f. Perte, absence, manque d’un bien ou d’un avantage qu’on avait, ou qu’on devait ou qu’on pouvait avoir.
n.f. Action de se priver volontairement, de s’abstenir de quelque chose dont on pourrait jouir.
n.f. (Au pluriel) Manque de beaucoup de choses nécessaires à la vie.
n.f. Réserve outrée et affectée en ce qui touche à la pudeur et à la bienséance ; pudibonderie.
n.f. Caractère de celui qui est pudibond.
n.f. Caractère de celui, de celle qui est pudique.
n.f. (Par extension) Justesse et délicatesse, dans la littérature, dans les arts.
n.f. Qualité d’une chose qui est pure et sans mélange.
n.f. (Style & langage) Exactitude dans le choix, l’emploi et l’arrangement des termes et des phrases.
n.f. (Figuré) Intégrité, droiture, innocence, exemption d’altération, de corruption, de souillure.
n.f. (En particulier) Chasteté.
n.f. (Beaux-Arts) Correction, exactitude du trait.
adj. Féminin singulier de retenu.
n.f. Réservoir où l’on retient de l’eau.
n.f. Action de retenir.
n.f. (École) Privation de sortie, infligée à un écolier comme punition de quelque faute.
n.f. (Finance) (Comptabilité) Ce qu’on retient, en vertu de la loi ou d’une stipulation convenue, sur un traitement, un salaire, ou sur une rente.
v. Participe passé féminin singulier de retenir.
n.f. (Figuré) Action de se retenir, modération, discrétion, modestie.
n.f. (Mathématiques) Chiffre, le nombre que l’on retient.
n.f. Espace entre deux écluses où l’eau est retenue.
n.f. En parlant des ouvrages de l’esprit ou des œuvres d’art, soin que l’on met à éviter ce qui est outré, extravagant, à se renfermer, non sans quelque timidité…
n.f. Prudence, circonspection, sentiment juste des choses.
n.f. Caractère prudent, circonspect, d’actions, de paroles, etc.
n.f. Modération, retenue, maîtrise de soi.
n.f. (Équitation) Aptitude d’un cheval de trot à rester sage, c’est-à-dire à ne pas se montrer fautif en se mettant au galop.
n.f. Connaissance inspirée des choses divines et humaines.
n.f. (Désuet) Modestie, pudeur, chasteté, surtout en parlant des jeunes filles et des femmes.
n.f. Connaissance naturelle ou acquise des choses, les lumières de l’esprit.
n.m. (Vieilli) (Rare) Reste de difficulté ; nuage qui reste dans l’esprit après l’éclaircissement d’une question ou d’une affaire.
n.m. Doute ou hésitation que l’on éprouve à la peur de mal faire ou d’être importun.
n.m. (Vieilli) Grande sévérité d’un auteur, d’un artiste dans la correction d’un ouvrage.
n.m. (Vieilli) Grande exactitude à observer la règle, à remplir ses devoirs.
n.m. (Anciennes mesures) (Rare) Fort petite partie de la minute.
n.m. (Vieilli) Grande délicatesse en matière de procédés ou de mœurs.
n.m. (Anciennes mesures) Petit poids de 24 grains. Ses symboles sont s et ℈.
n.f. (Figuré) d’après saint Paul, Il faut être sage avec sobriété, il faut garder une certaine modération, même dans les meilleures choses, de peur de les outrer.
n.f. Caractère de celui qui est sobre, modéré dans le boire et le manger.
n.f. Caractère des animaux qui sont peu exigeants pour leur nourriture.
n.f. (Figuré) Réserve, retenue, modération.
n.f. (En particulier) Caractère de celui qui ne consomme pas de psychotrope, en particulier l’alcool.
n.m. Toucher, sens par lequel on connaît ce qui est chaud ou froid, dur ou mou, uni ou raboteux, etc.
n.m. Faculté de se conduire ou de parler en prenant garde à ne pas blesser la sensibilité, l’amour-propre ou plus simplement les convenances.
n.m. (Figuré) Sentiment délicat des convenances, des nuances, de la mesure.
n.f. (Didactique) Fait de tempérer.
n.f. Modération dans la consommation d’aliments et de boissons alcoolisées ; sobriété.
n.f. Vertu qui modère les passions et les désirs.
n.f. Pouvoir de produire un certain effet.
n.f. (Au singulier) Disposition ferme, constante de l’âme, qui porte à faire le bien et à fuir le mal.
n.f. Dispositions particulières propres à telle ou telle sorte de devoirs ou de bonnes actions.
n.f. Chasteté, pudicité, surtout en parlant des femmes.
n.f. (Par extension) Personne vertueuse.
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