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n.f. Facilité à excuser et à pardonner les fautes, les défauts.
n.f. (Religion catholique) (Souvent au pluriel) Rémission des peines que les péchés méritent, accordée par l’Église sous certaines conditions.
n.f. Action d’absoudre.
n.f. (Théologie) Action par laquelle le prêtre remet les péchés en vertu des paroles sacramentelles qu’il prononce.
n.f. (Droit criminel) Jugement qui renvoie de l’accusation un accusé auteur d’un fait qui n’est puni par aucune loi.
n.f. Action d’accepter.
n.f. (Banque) Promesse de payer à échéance.
n.f. (Christianisme) (Rare) Ensemble des agissements, pensées et mœurs d’une personne permettant au diable ou à ses démons de la tourmenter, voire de la posséder.
n.f. (Droit) Approbation dans les formes légales.
n.m. Action d’acquiescer.
n.f. Qualité de celui qui reçoit, qui écoute et entretient avec bienveillance ceux qui s’adressent à lui.
v. Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe aider.
n.f. (Administration) (Religion catholique) Se disait d’une église, d’une chapelle qui servait de succursale à une église paroissiale dont les habitants étaient trop…
n.f. (Équitation) Moyens que le cavalier emploie pour bien manier un cheval, et plus particulièrement des mains et des jambes dans leur action sur le cheval.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe aider.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe aider.
n. Personne qui est auprès de quelqu’un pour travailler ou servir conjointement avec lui et sous sa responsabilité.
v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe aider.
n.f. (Histoire) (Au pluriel) Impôts levés sur les denrées et marchandises qui se vendaient et se transportaient dans toute l’étendue du royaume.
n.f. Action d’apporter son soutien physiquement, verbalement, financièrement ou de tout autre manière.
n.f. (Architecture) petites pièces ménagées près des grandes pièces d’apparat ou de service qui ont besoin de dégagement.
v. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe aider.
n.f. À la fois la personne dont on reçoit du secours et le soutien que l’on en tire.
n.f. Secours que procurent certaines choses.
n.m. Disposition à s’occuper d’autrui, à s’y intéresser.
n.m. Sentiment d’amour instinctif ou réfléchi pour autrui.
n.f. Qualité d’une personne aimable.
n.f. (Au pluriel) Les signes par lesquels elle se manifeste.
n.f. (Vieilli) (Rare) Agrément, en parlant d’un lieu ou d’un air.
n.f. Douceur accompagnée de politesse et de grâce.
n.f. On dit quelquefois avec le singulier, dans la même acception, faire amitié à quelqu’un.
n.f. Sentiment réciproque qui engage deux personnes l’une envers l’autre.
n.f. Affection que certains animaux ont pour les êtres humains.
n.f. (Vieux français, français classique) Paroles obligeantes, qui marquent de l’affection.
n.f. (Familier) Bon office ; service.
n.m. Action de s’apitoyer, de se prendre en pitié, souvent au sens péjoratif.
n.f. Présence. — Note : Il est surtout usité en parlant de la présence d’un officier public ou d’un ecclésiastique dans quelqu’une des fonctions de leur ministère.
n.f. Aide ; secours.
n.f. (Religion) Dans quelques ordres religieux, état ou province où se trouve celui qui assiste le général ou le provincial de son ordre.
n.f. (Courant) Public ou ensemble des personnes assemblées en un lieu.
n.m. Action de s’attendrir ou état d’une âme attendrie.
interj. Interjection indiquant qu’une attention ou prudence particulière est requise de la part de l’interlocuteur, ellipse de fais/faites attention.
n.f. Concentration particulière sur quelque chose ; application d’esprit à quelque chose.
n.f. (Par extension) Marque de prévenance ; soin officieux ou obligeant.
n.f. (En particulier) Vigilance.
n.f. Disposition qui porte à rendre des soins.
interj. Utilisé seul en forme exclamative, indique un danger ou événement imminent.
v. Première personne du singulier du subjonctif présent de aumôner.
n.f. Ce que l’on donne aux pauvres par charité.
v. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de aumôner.
n.f. (Par extension) Somme d’argent dérisoire.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de aumôner.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent de aumôner.
v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de aumôner.
n.f. Caractère de celui qui est bénin.
n.f. (Spécialement) (Médecine) Caractère d’une anomalie qui ne pose aucun danger pour la santé.
n.f. Inclination à faire du bien aux autres, pratique des bienfaits.
n.f. Bien que l’on fait dans un intérêt social.
n.f. Motivation à respecter autrui et agir pour son bien.
n.f. Simple bienveillance ; pure politesse.
n.f. Qualité de ce qui est bon.
n.f. (En parlant d’une femme) Égard.
n.f. Justice.
n.f. (Au pluriel) Termes de politesse.
n.f. (Au pluriel) Actes de bienveillance.
n.f. Qualité morale qui porte à être doux, facile, indulgent, à faire du bien.
n.f. (Vieilli) Simplicité et trop grande naïveté.
n.f. (Vieilli) Groupe de personnes pieuses se dévouant pour secourir les pauvres.
n.f. (Religion) Vertu théologale, amour que l’on ressent pour Dieu, pour le bien et pour son prochain.
n.f. Bienfaisance ; aumône aux pauvres. — Note : Dans ce sens, il peut s’employer au pluriel.
n.f. (Par métonymie) Hospice où étaient accueillis les pauvres.
n.f. Ensemble de comportements liés à la politesse.
n.f. (Au pluriel) Actions et paroles qui sont des témoignages de politesse.
n.f. Manière courtoise ou polie de vivre et de converser dans le monde.
n.f. Vertu qui consiste à pardonner les offenses et à modérer les châtiments en parlant de ceux qui disposent de l’autorité souveraine et par extension, de toute…
n.f. Douceur, modération.
Graphie erronée du mot cœur.
n.f. (Soutenu) Sorte de pitié qu’on ressent pour ceux qui se sont rendus coupables de fautes, qui ont commis des actes contraires à la morale, à la religion.
n.f. Éprouver de la miséricorde ; partager la misère mentale d’autrui due à sa situation ; compatir pour la souffrance physique ou morale d’un ou plusieurs autres…
n.f. Sentiment qui nous fait partager la souffrance d’autrui (par intuition ou connaissance de cette souffrance-là).
n.f. (Par analogie) Pitié.
n.f. (Religion) Amour, affection.
n.f. Action de s’accommoder au sentiment, au goût de quelqu’un pour lui plaire.
n.f. Facilité excessive.
n.f. Plaisir, satisfaction, en parlant des personnes qu’on estime, qu’on aime, des choses dans lesquelles on se complaît.
n.f. Actes de complaisance, et, dans ce sens, on l’emploie très souvent au pluriel.
n.f. Faculté de comprendre, de concevoir.
n.f. (Logique) Qualité de ce qui est compréhensif.
n.f. (Didactique) Connaissance entière et parfaite.
n.f. Fermeté de l’âme qui lui permet de résister aux choses capables de l’ébranler, telles que la douleur, l’adversité, les tourments, etc.
n.f. Persévérance.
n.f. Affection dont les manifestations attestent la sincérité, la vivacité.
n.f. Caractère débonnaire.
n.f. Susceptibilité, facilité à s’offenser, à se choquer.
n.f. (Figuré) Sensibilité, aptitude à juger finement de ce qui regarde les sens ou l’esprit.
n.f. Qualité de ce qui est délicat.
n.f. Qualité de ce qui est agréable au goût.
n.f. Scrupules sur ce qui touche à la probité, à la morale, aux bienséances.
n.f. (Par extension) Adresse, légèreté, soin.
n.f. Mollesse.
n.f. Faiblesse, débilité.
n.f. (Figuré) Ménagement, circonspection.
n.f. (Figuré) Ce qui est senti, pensé, fait ou exprimé d’une manière délicate.
n.f. (Par extension) Paroles aimables et particulièrement des paroles galantes qu’un homme adresse à une femme pour tâcher de lui plaire, de s’en faire aimer.
n.f. Qualité de ce qui est doux ; la chose même qui a cette qualité. — Note : S’emploie au propre et au figuré.
n.f. (En particulier) (Absolument) Façon d’agir douce et éloignée de toute sorte de violence.
n.f. (Par extension) (Au pluriel) Les friandises propres à flatter le goût.
n.f. (Par analogie) (Au pluriel) Choses morales qui flattent l’âme, l’esprit, comme les substances douces flattent le goût.
n.f. (Souvent) Aptitude à concevoir, à produire, à travailler facilement.
n.f. Qualité de ce qui est fait ou employé sans peine.
n.f. Disposition naturelle ou acquise, grâce à laquelle on exécute quelque chose sans peine, sans effort.
n.f. Moyen qui permet d’exécuter sans peine.
v. Participe passé masculin singulier de faciliter.
n.f. Tendance à se plier aux circonstances, à se prêter à ce que l’on attend de vous.
n.f. (En particulier) (Finance) (Commerce), (Surtout au pluriel) Commodités, délais accordés à un acheteur, à un débiteur.
n.f. Manière dont on exécute une chose sans peine.
n.f. (En particulier) Le fait de succomber à la séduction, en parlant d’une femme.
n.f. Manque de puissance ou de ressources.
n.f. État de ce qui est faible.
n.f. Défaillance ; évanouissement ; syncope.
n.f. (Figuré) Le fait pour une chose d’être peu considérable en son genre, tant au sens physique qu’au sens moral.
n.f. Manque de grosseur, d’épaisseur, de force, de solidité de certaines choses.
n.f. Manque de force ou de vigueur.
n.f. (Quelquefois) Défaut de raison, d’empire sur soi-même, et des fautes qui en sont la suite.
n.f. (Figuré) Manque de force morale qui dispose à trop d’indulgence, ou qui rend facile à troubler, à émouvoir.
n.f. (Par extension) Manque d’intelligence.
n.f. (Figuré) Manque de talent.
n.f. Se dit encore par opposition à rigueur, à sévérité.
n.f. Marque d’une bienveillante attention ou d’une préférence particulière.
n.f. Crédit, du pouvoir qu’on a auprès d’un grand personnage, dont on est aimé, préféré.
n.f. (En particulier) Marques de préférence qu’une femme donne à un homme.
n.f. (Régionalisme) Pâtisserie.
n.f. (En particulier) Bienveillance, des bonnes grâces d’un personnage puissant, du public.
n.f. Sorte de ruban étroit et très léger, que les dames donnaient à un chevalier.
n.f. Pluriel de faveur.
n.f. Lien de parenté qui unit les enfants, frères et sœurs, nés des mêmes parents.
n.f. Liaison étroite que contractent ensemble ceux qui, sans être frères, se traitent néanmoins comme des frères.
n.f. Organisme, association, à caractère religieux, entre personnes voulant vivre de façon fraternelle.
n.f. Idée selon laquelle tous les humains, hommes et femmes, sont égaux et méritent égale dignité et égale considération.
n.f. Disposition à donner plus qu’on n’est tenu de donner et à recevoir moins qu’on pourrait réclamer.
n.f. (Par extension) Actes de générosité.
n.f. (Par extension) Noblesse, élévation de sentiments.
n.f. Agrément accompagné de délicatesse.
n.f. (Ironique) (Souvent au pluriel) Saillies agréables, spirituelles.
n.f. (Ironique) Trait de mauvaise conduite, de malice, etc.
n.f. Tour de souplesse agréable.
n.f. (Ironique) (Au pluriel) (Vieilli) Air gracieux ; façons gracieuses.
n.f. (Par extension) Bienveillance qu’une personne accorde à une autre, faveur.
n.f. Pardon, indulgence.
interj. Supplication d’épargner.
n.f. (Au pluriel) Remerciement, témoignage de reconnaissance.
n.f. (Par ellipse) (Histoire) Lettre de grâce.
interj. Ne continuez pas.
n.f. (Religion) Aide que Dieu donne aux hommes pour leur salut.
n.f. Ce qui plaît dans les attitudes, les manières, les discours : Un certain agrément, un certain charme indéfinissable.
n.f. (En particulier) (Justice) Remise de la peine que le prince ou l’autorité exécutive, fait à un condamné.
n.f. (Au pluriel) Prière que l’on fait après le repas.
n.f. (Par extension) Qualité du style qui consiste surtout à exprimer ses pensées d’une manière élégante, sans aucune peine apparente ; c’est l’élégance unie à la…
n.f. Faveur qu’on fait à quelqu’un pour lui être agréable, sans y être obligé.
n.f. (Au pluriel) Les études que l’on faisait dans les lycées ou les collèges où l’on enseignait les langues et littératures grecques et latines.
n.f. Nature ou condition humaine.
n.f. (Par extension) Une partie seulement du genre humain.
n.f. Bonté, sensibilité ou compassion pour les malheurs d’autrui.
n.f. Genre humain, les hommes en général.
n.m. Liberté de mise, de comportement ou d’attitude.
n.m. (Péjoratif) Manque de rigueur, de soin, laxisme, négligence dans les manières, mollesse dans la conduite.
n.m. Système de pensées qui nie, ou limite, les interdits.
n.m. Laisser-aller, manque de rigueur.
n.m. Trop grande tolérance, indulgence excessive.
n.f. Pouvoir inaliénable de l’individu, droit qu’il a de disposer de sa personne ; capacité des individus et des organisations qu’ils forment à agir sans restrictions…
n.f. Possibilité qu’a en pratique une personne, un animal, ou parfois une chose, de penser sans contraintes, d’agir selon son bon vouloir, de se mouvoir sans contrainte.
n.f. Permission.
n.f. Chacun des droits qu’un tel pouvoir implique.
n.f. (Littéraire) Patience avec laquelle un être puissant et bon endure les fautes, les insultes qu’il pourrait punir.
n.f. Vertu de celui qui est magnanime ; grandeur d’âme.
n.f. Douceur d’âme qui porte à être indulgent, patient, clément.
n.f. Petite saillie de bois fixée sous le siège d’une stalle et où on peut se reposer légèrement tout en gardant la position verticale.
n.f. Pitié, compassion.
n.f. Bonté par laquelle Dieu fait grâce aux hommes, aux pécheurs.
n.f. (Christianisme) Vertu qui porte à avoir pitié des autres, à avoir compassion des misères d’autrui et à souhaiter les soulager.
interj. Exclamation marquant une grande détresse ou un grand découragement.
n.f. (Armement) Dague effilée essentiellement destinée à porter le coup de grâce à un homme à terre.
n.f. Grâce, pardon accordé à ceux que l’on pourrait punir.
n.f. Par extension, tout dispositif permettant un appui ou un repos partiel dans une position debout fixe, hors contexte religieux.
n.f. (Soutenu) Disposition à se montrer obligeant, serviable.
n.f. (Antiquité) (Numismatique) Nom d’une ancienne monnaie de peu de valeur, employée dans l’antiquité grecque.
n.f. (Par extension) Petite somme d’argent.
n.f. (Par extension) Modeste offrande ou don peu important.
n.f. (XVIIe siècle) (Numismatique) Monnaie de cuivre valant un demi-denier.
n.f. Don que l’on offre à Dieu, aux saints ou à l’église.
n.f. Il se dit encore, par extension, de tout don que l’on fait à un organisme ou à une personne.
n.f. Cérémonie qui se pratique aux messes dans lesquelles le prêtre, tourné vers le peuple, présente la paix à baiser et reçoit les offrandes des fidèles.
n.f. Don que l’on offre à une divinité, aux idoles ou à un temple.
n.f. (Par extension) Approbation.
n.f. (Médecine) Action d’oindre. Action de frotter doucement quelque partie du corps avec une substance grasse huileuse.
n.f. (Figuré) Douceur particulière qui, dans un discours, dans un écrit, touche le cœur et porte à la dévotion ou à une sorte d’attendrissement.
n.f. (Théologie) Action pacifiante et douce de la grâce.
n.f. Action d’oindre qui entre dans l’administration de quelques sacrements et dans plusieurs cérémonies de l’église.
interj. Formule de politesse sollicitant le pardon des auditeurs.
n.m. Action de pardonner une faute, une offense.
n.m. (Religion) Rémission des péchés, des offenses, indulgence, acte de miséricorde.
n.m. (Familier) Action de demander le pardon.
n.m. (Droit) (Désuet) Remise de peine.
interj. (Ivoirisme) Formule de politesse pour demander un service ou atténuer une demande ; souvent équivalent de s’il vous plait.
n.f. (Vieilli) (Militaire) Planchette à rainure dont on se sert pour astiquer les boutons de métal.
n.f. Vertu qui fait supporter les adversités, les douleurs, les injures, les incommodités, etc.
n.f. (Cartes à jouer) Jeu de cartes où un seul joueur participe.
n.f. Tranquillité, calme, sang-froid avec lequel on attend ce qui tarde à venir ou à se faire.
n.f. (Botanique) Plante du genre rumex, en particulier l’oseille-épinard.
n.f. Constance, persévérance à faire une chose, à poursuivre un dessein, malgré la lenteur des progrès, les obstacles, les peines, les dégoûts.
n.f. (Héraldique) Nom donné aux flammes qui entourent la salamandre héraldique dans les armoiries.
n.f. Tolérance excessive conduisant à la suppression des contraintes morales et des interdits.
n.f. Amour des êtres humains.
n.f. Sentiment douloureux face aux souffrances d’autrui, que l’on ne connaît ou partage pas soi-même.
n.f. (Par métonymie) Détresse, état misérable.
n.f. (Par analogie) Sentiment de mépris, d’orgueil ou de supériorité face aux souffrances ou difficultés d’autrui que l’on ne connaît pas soi-même.
n.f. (Par analogie) Compassion ; commisération.
n.f. Bonne manière de vivre, d’agir ou de parler avec quelqu’un, civile, honnête ou courtoise.
n.f. Actions conformes à la politesse.
n.f. Manière obligeante de prévenir, de devancer les désirs de quelqu’un.
n.f. (Philosophie) Ensemble des opérations qui constituent la vie sensitive et la vie affective.
n.f. Qualité par laquelle un sujet est sensible aux impressions physiques.
n.f. Sentiment d’humanité, de pitié, de tendresse.
n.f. De même en parlant des impressions morales.
n.f. (Statistiques) Capacité d’un test à donner un résultat positif lorsqu’une hypothèse est vérifiée.
n.f. (Par extension) Ce à quoi l’on est sensible.
n.f. (Physique) Propriété de marquer les plus légères différences, les moindres variations.
n.f. (Rare) Qualité de celui, de celle, qui est serviable.
n.f. Penchant instinctif qui attire des personnes les unes vers les autres.
n.f. Bienveillance.
n.f. (Musique) État de deux cordes, ou plus généralement de deux corps sonores, dont le second se met à résonner lorsque le premier produit un son.
n.f. L’accord avec le sentiment d’autrui, le pouvoir que nous avons de participer aux peines et aux plaisirs les uns des autres. Syn. : empathie.
v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de tolérancer.
n.f. (Désuet) (Par ellipse) Maison de tolérance.
n.f. Capacité à supporter un inconvénient.
n.f. (Administration) (Arts) (Métrologie) Écart toléré dans la dimension, la quantité, etc., des marchandises fournies.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de tolérancer.
v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de tolérancer.
n.f. Condescendance, indulgence, action de supporter ce que l’on ne peut empêcher ou que l’on croit ne pas pouvoir empêcher.
v. Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de tolérancer.
v. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de tolérancer.
n.f. (En particulier) (Religion) (Politique) Fait de ne pas s’opposer à des idées, à des positions différentes des nôtres.
n.f. (Biologie) Seuil maximal de la capacité d’un organisme à absorber des substances chimiques ou des conditions physiques particulières sans en être visiblement affecté.
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