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n.m. Terme désignant les doctrines philosophiques des alchimistes.
n.m. (Par extension) Caractère secret, fermé, rigoureux et inflexible d’une doctrine.
n.f. Science occulte et chimérique qui consistait surtout dans la recherche d’un remède universel et d’un moyen propre à opérer la transmutation des métaux.
n.f. Description de l’influence, ou de la correspondance, supposée des astres sur le caractère ou sur la destinée des hommes.
n.m. (Philosophie) Doctrine professée à l’intérieur de l’école et réservée à un certain nombre d’adeptes.
n.f. (Occultisme) (Ésotérisme) Connaissance suprême du mystère du monde promise aux (seuls) initiés.
n.f. (Histoire des religions) Doctrine affirmant que la connaissance de Dieu est intuitive, et qu’elle est le résultat d’une révélation intérieure (gnose chrétienne)…
n.f. (Histoire) (Religion) Doctrine des gnostiques, qui accordait un sens purement spirituel à l’Écriture.
n.f. (Histoire) (Religion) Nom donné par mépris aux quiétistes réunis autour de Madame Guyon et de Fénelon, ainsi qu’à leur interprétation de la religion.
n.f. (Histoire) (Religion) Doctrine des hérétiques qui prétendaient que les êtres spirituels sortis du sein de Dieu doivent y retourner.
n.f. (Fantastique) Art prétendu auquel on attribue le pouvoir d’opérer, par des moyens occultes, des effets surprenants et merveilleux.
n.f. (Figuré) Pouvoir qu’exercent sur les sens et sur l’âme, les beaux-arts, la poésie, l’éloquence, les passions, les affections vives.
n.m. Doctrine de ceux qui pratiquent les sciences occultes ; ensemble des sciences occultes.
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