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n.f. Motivation à respecter autrui et agir pour son bien.
n.f. Renoncement, sacrifice.
n.f. (Théologie) Détachement de tout ce qui n’a pas rapport à Dieu.
n.f. Qualité de celui qui reçoit, qui écoute et entretient avec bienveillance ceux qui s’adressent à lui.
n.f. Sentiment d’aimer quelqu’un avec attachement ou tendresse, et qui nous porte à vouloir son bien-être ou son bonheur ; amitié ou amour non passionnel ou romantique.
n.f. (Médecine) Maladie.
n.f. (Par extension) Divers mouvements de l’âme.
v. Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe aider.
n.f. (Administration) (Religion catholique) Se disait d’une église, d’une chapelle qui servait de succursale à une église paroissiale dont les habitants étaient trop…
n.f. (Équitation) Moyens que le cavalier emploie pour bien manier un cheval, et plus particulièrement des mains et des jambes dans leur action sur le cheval.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe aider.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe aider.
n. Personne qui est auprès de quelqu’un pour travailler ou servir conjointement avec lui et sous sa responsabilité.
v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe aider.
n.f. (Histoire) (Au pluriel) Impôts levés sur les denrées et marchandises qui se vendaient et se transportaient dans toute l’étendue du royaume.
n.f. Action d’apporter son soutien physiquement, verbalement, financièrement ou de tout autre manière.
n.f. (Architecture) petites pièces ménagées près des grandes pièces d’apparat ou de service qui ont besoin de dégagement.
v. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe aider.
n.f. À la fois la personne dont on reçoit du secours et le soutien que l’on en tire.
n.f. Secours que procurent certaines choses.
n.m. Tendance à centrer ses intérêts sur les autres au lieu de soi-même.
n.m. Disposition à s’occuper d’autrui, à s’y intéresser.
n.m. Sentiment d’amour instinctif ou réfléchi pour autrui.
n.f. Qualité d’une personne aimable.
n.f. (Au pluriel) Les signes par lesquels elle se manifeste.
n.f. (Vieilli) (Rare) Agrément, en parlant d’un lieu ou d’un air.
n.f. Douceur accompagnée de politesse et de grâce.
n.f. On dit quelquefois avec le singulier, dans la même acception, faire amitié à quelqu’un.
n.f. Sentiment réciproque qui engage deux personnes l’une envers l’autre.
n.f. Affection que certains animaux ont pour les êtres humains.
n.f. (Vieux français, français classique) Paroles obligeantes, qui marquent de l’affection.
n.f. (Familier) Bon office ; service.
n.m. Sentiment qui fait qu’on s’attache fortement et volontairement à quelqu’un, à quelque chose.
n.m. (Architecture) Notes que prend l’architecte ou un inspecteur des travaux sur les ouvrages entrant dans la construction d’un édifice, lorsqu’ils sont encore apparents…
n.m. Grande application.
interj. Interjection indiquant qu’une attention ou prudence particulière est requise de la part de l’interlocuteur, ellipse de fais/faites attention.
n.f. Concentration particulière sur quelque chose ; application d’esprit à quelque chose.
n.f. (Par extension) Marque de prévenance ; soin officieux ou obligeant.
n.f. (En particulier) Vigilance.
n.f. Disposition qui porte à rendre des soins.
interj. Utilisé seul en forme exclamative, indique un danger ou événement imminent.
n.f. Caractère de celui qui est bénin.
n.f. (Spécialement) (Médecine) Caractère d’une anomalie qui ne pose aucun danger pour la santé.
n.f. Inclination à faire du bien aux autres, pratique des bienfaits.
n.f. Bien que l’on fait dans un intérêt social.
n.f. Simple bienveillance ; pure politesse.
n.f. Qualité de ce qui est bon.
n.f. (En parlant d’une femme) Égard.
n.f. Justice.
n.f. (Au pluriel) Termes de politesse.
n.f. (Au pluriel) Actes de bienveillance.
n.f. Qualité morale qui porte à être doux, facile, indulgent, à faire du bien.
n.f. (Vieilli) Simplicité et trop grande naïveté.
n.f. Familiarité, union qui existe entre camarades.
n.f. Sorte d’entente qui existe entre diverses personnes unies par des rapports d’âge, d’amitié, de profession ou d’intérêts pour se soutenir et se prôner mutuellement.
n.f. (Sexualité) Œstrus, état de la femme ou femelle qui est chaude.
n.f. Qualité de ce qui est chaud, sensation produite par un corps chaud.
n.f. (Physique) Énergie calorifique.
n.f. (Figuré) Ardeur, feu, véhémence des passions, des sentiments ou de ce qui sert à les manifester.
n.f. Température produite par l’action du soleil, du feu ou de toute autre cause.
n.f. (Vieilli) Groupe de personnes pieuses se dévouant pour secourir les pauvres.
n.f. (Religion) Vertu théologale, amour que l’on ressent pour Dieu, pour le bien et pour son prochain.
n.f. Bienfaisance ; aumône aux pauvres. — Note : Dans ce sens, il peut s’employer au pluriel.
n.f. (Par métonymie) Hospice où étaient accueillis les pauvres.
n.f. Ensemble de comportements liés à la politesse.
n.f. (Au pluriel) Actions et paroles qui sont des témoignages de politesse.
n.f. Manière courtoise ou polie de vivre et de converser dans le monde.
n.f. Vertu qui consiste à pardonner les offenses et à modérer les châtiments en parlant de ceux qui disposent de l’autorité souveraine et par extension, de toute…
n.f. Douceur, modération.
n.f. Sentiment qui nous fait partager la souffrance d’autrui (par intuition ou connaissance de cette souffrance-là).
n.f. (Par analogie) Pitié.
n.f. (Religion) Amour, affection.
n.f. Action de s’accommoder au sentiment, au goût de quelqu’un pour lui plaire.
n.f. Facilité excessive.
n.f. Plaisir, satisfaction, en parlant des personnes qu’on estime, qu’on aime, des choses dans lesquelles on se complaît.
n.f. Actes de complaisance, et, dans ce sens, on l’emploie très souvent au pluriel.
n.f. (Droit) Participation au délit ou au crime d’un autre.
n.f. (Figuré) Lien d’intelligence entre deux personnes. La complicité, c’est se comprendre, rire ensemble d’un simple regard et surtout évoluer dans un véritable…
n.f. Faculté de comprendre, de concevoir.
n.f. (Logique) Qualité de ce qui est compréhensif.
n.f. (Didactique) Connaissance entière et parfaite.
n.f. Affection dont les manifestations attestent la sincérité, la vivacité.
n.f. Manière de parler et d’agir de celui qui est courtois.
n.f. Caractère débonnaire.
n.f. Susceptibilité, facilité à s’offenser, à se choquer.
n.f. (Figuré) Sensibilité, aptitude à juger finement de ce qui regarde les sens ou l’esprit.
n.f. Qualité de ce qui est délicat.
n.f. Qualité de ce qui est agréable au goût.
n.f. Scrupules sur ce qui touche à la probité, à la morale, aux bienséances.
n.f. (Par extension) Adresse, légèreté, soin.
n.f. Mollesse.
n.f. Faiblesse, débilité.
n.f. (Figuré) Ménagement, circonspection.
n.f. (Figuré) Ce qui est senti, pensé, fait ou exprimé d’une manière délicate.
n.m. Le fait de s’investir pleinement dans une action, souvent au profit des autres.
n.m. (Antiquité) Acte religieux des anciens par lequel un citoyen s’offrait volontairement aux divinités infernales pour faire retomber sur sa tête le malheur dont…
n.m. (En particulier) Action de s’exposer à un grand péril ou à une mort certaine, par humanité, par patriotisme, etc., ou de se sacrifier à autrui ou à une idée…
n.f. (Par extension) Paroles aimables et particulièrement des paroles galantes qu’un homme adresse à une femme pour tâcher de lui plaire, de s’en faire aimer.
n.f. Qualité de ce qui est doux ; la chose même qui a cette qualité. — Note : S’emploie au propre et au figuré.
n.f. (En particulier) (Absolument) Façon d’agir douce et éloignée de toute sorte de violence.
n.f. (Par extension) (Au pluriel) Les friandises propres à flatter le goût.
n.f. (Par analogie) (Au pluriel) Choses morales qui flattent l’âme, l’esprit, comme les substances douces flattent le goût.
n.f. (Souvent) Aptitude à concevoir, à produire, à travailler facilement.
n.f. Qualité de ce qui est fait ou employé sans peine.
n.f. Disposition naturelle ou acquise, grâce à laquelle on exécute quelque chose sans peine, sans effort.
n.f. Moyen qui permet d’exécuter sans peine.
v. Participe passé masculin singulier de faciliter.
n.f. Tendance à se plier aux circonstances, à se prêter à ce que l’on attend de vous.
n.f. (En particulier) (Finance) (Commerce), (Surtout au pluriel) Commodités, délais accordés à un acheteur, à un débiteur.
n.f. Manière dont on exécute une chose sans peine.
n.f. Se dit encore par opposition à rigueur, à sévérité.
n.f. Marque d’une bienveillante attention ou d’une préférence particulière.
n.f. Crédit, du pouvoir qu’on a auprès d’un grand personnage, dont on est aimé, préféré.
n.f. (En particulier) Marques de préférence qu’une femme donne à un homme.
n.f. (Régionalisme) Pâtisserie.
n.f. (En particulier) Bienveillance, des bonnes grâces d’un personnage puissant, du public.
n.f. Sorte de ruban étroit et très léger, que les dames donnaient à un chevalier.
n.f. Pluriel de faveur.
n.f. Lien de parenté qui unit les enfants, frères et sœurs, nés des mêmes parents.
n.f. Liaison étroite que contractent ensemble ceux qui, sans être frères, se traitent néanmoins comme des frères.
n.f. Organisme, association, à caractère religieux, entre personnes voulant vivre de façon fraternelle.
n.f. Idée selon laquelle tous les humains, hommes et femmes, sont égaux et méritent égale dignité et égale considération.
n.f. Disposition à donner plus qu’on n’est tenu de donner et à recevoir moins qu’on pourrait réclamer.
n.f. (Par extension) Actes de générosité.
n.f. (Par extension) Noblesse, élévation de sentiments.
n.f. Agrément accompagné de délicatesse.
n.f. (Ironique) (Souvent au pluriel) Saillies agréables, spirituelles.
n.f. (Ironique) Trait de mauvaise conduite, de malice, etc.
n.f. Tour de souplesse agréable.
n.f. (Ironique) (Au pluriel) (Vieilli) Air gracieux ; façons gracieuses.
n.f. (Par extension) Bienveillance qu’une personne accorde à une autre, faveur.
n.f. Pardon, indulgence.
interj. Supplication d’épargner.
n.f. (Au pluriel) Remerciement, témoignage de reconnaissance.
n.f. (Par ellipse) (Histoire) Lettre de grâce.
interj. Ne continuez pas.
n.f. (Religion) Aide que Dieu donne aux hommes pour leur salut.
n.f. Ce qui plaît dans les attitudes, les manières, les discours : Un certain agrément, un certain charme indéfinissable.
n.f. (En particulier) (Justice) Remise de la peine que le prince ou l’autorité exécutive, fait à un condamné.
n.f. (Au pluriel) Prière que l’on fait après le repas.
n.f. (Par extension) Qualité du style qui consiste surtout à exprimer ses pensées d’une manière élégante, sans aucune peine apparente ; c’est l’élégance unie à la…
n.f. Faveur qu’on fait à quelqu’un pour lui être agréable, sans y être obligé.
n.f. (Au pluriel) Les études que l’on faisait dans les lycées ou les collèges où l’on enseignait les langues et littératures grecques et latines.
n.f. Nature ou condition humaine.
n.f. (Par extension) Une partie seulement du genre humain.
n.f. Bonté, sensibilité ou compassion pour les malheurs d’autrui.
n.f. Genre humain, les hommes en général.
n.f. Facilité à excuser et à pardonner les fautes, les défauts.
n.f. (Religion catholique) (Souvent au pluriel) Rémission des peines que les péchés méritent, accordée par l’Église sous certaines conditions.
n.f. Correspondance, communication entre des personnes qui s’entendent l’une avec l’autre ; connivence.
n.f. Faculté de comprendre, de ne pas se méprendre sur le sens des mots, la nature des choses et la signification des faits.
n.f. Connaissance approfondie, compréhension nette et facile.
n.f. (En particulier) (Au pluriel) Ententes, conventions secrètes.
n.f. Activité volontaire et réfléchie de l’homme s’exerçant d’une façon normale en vue de la connaissance et s’opposant à l’instinct.
n.f. Généralement précédé d’un adjectif (le plus souvent: bonne) Accord, entente, harmonie, union de sentiments.
n.f. (En particulier) Adresse, habileté, et s’applique surtout au choix des moyens employés pour obtenir un résultat.
n.f. (Sans épithète) Développement des facultés de comprendre et de raisonner au-dessus de la moyenne.
n.f. Aptitude, capacité particulière, don pour une activité.
n.f. (Littéraire) Patience avec laquelle un être puissant et bon endure les fautes, les insultes qu’il pourrait punir.
n.f. Vertu de celui qui est magnanime ; grandeur d’âme.
n.f. Douceur d’âme qui porte à être indulgent, patient, clément.
n.f. (Soutenu) Disposition à se montrer obligeant, serviable.
n.f. (Par extension) Approbation.
n.f. (Médecine) Action d’oindre. Action de frotter doucement quelque partie du corps avec une substance grasse huileuse.
n.f. (Figuré) Douceur particulière qui, dans un discours, dans un écrit, touche le cœur et porte à la dévotion ou à une sorte d’attendrissement.
n.f. (Théologie) Action pacifiante et douce de la grâce.
n.f. Action d’oindre qui entre dans l’administration de quelques sacrements et dans plusieurs cérémonies de l’église.
interj. Formule de politesse sollicitant le pardon des auditeurs.
n.m. Action de pardonner une faute, une offense.
n.m. (Religion) Rémission des péchés, des offenses, indulgence, acte de miséricorde.
n.m. (Familier) Action de demander le pardon.
n.m. (Droit) (Désuet) Remise de peine.
interj. (Ivoirisme) Formule de politesse pour demander un service ou atténuer une demande ; souvent équivalent de s’il vous plait.
n.f. Amour des êtres humains.
n.f. Sentiment douloureux face aux souffrances d’autrui, que l’on ne connaît ou partage pas soi-même.
n.f. (Par métonymie) Détresse, état misérable.
n.f. (Par analogie) Sentiment de mépris, d’orgueil ou de supériorité face aux souffrances ou difficultés d’autrui que l’on ne connaît pas soi-même.
n.f. (Par analogie) Compassion ; commisération.
n.f. Bonne manière de vivre, d’agir ou de parler avec quelqu’un, civile, honnête ou courtoise.
n.f. Actions conformes à la politesse.
n.f. Manière obligeante de prévenir, de devancer les désirs de quelqu’un.
n.f. (Philosophie) Ensemble des opérations qui constituent la vie sensitive et la vie affective.
n.f. Qualité par laquelle un sujet est sensible aux impressions physiques.
n.f. Sentiment d’humanité, de pitié, de tendresse.
n.f. De même en parlant des impressions morales.
n.f. (Statistiques) Capacité d’un test à donner un résultat positif lorsqu’une hypothèse est vérifiée.
n.f. (Par extension) Ce à quoi l’on est sensible.
n.f. (Physique) Propriété de marquer les plus légères différences, les moindres variations.
n.m. Opinion qu’on a de quelque chose ; ce qu’on en pense ; ce qu’on en pressent.
n.m. (Vieilli) Action ou faculté de sentir, de recevoir des impressions.
n.m. Quelqu’une des affections, des passions, des émotions ; et généralement de tout phénomène de la vie affective.
n.m. Disposition à être facilement ému, touché ou attendri.
n.m. Faculté que nous avons de connaître, de comprendre, d’apprécier, de sentir directement certaines choses sans le secours du raisonnement, de l’observation ou…
n.f. (Rare) Qualité de celui, de celle, qui est serviable.
n.f. Penchant instinctif qui attire des personnes les unes vers les autres.
n.f. Bienveillance.
n.f. (Musique) État de deux cordes, ou plus généralement de deux corps sonores, dont le second se met à résonner lorsque le premier produit un son.
n.f. L’accord avec le sentiment d’autrui, le pouvoir que nous avons de participer aux peines et aux plaisirs les uns des autres. Syn. : empathie.
v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de tolérancer.
n.f. (Désuet) (Par ellipse) Maison de tolérance.
n.f. Capacité à supporter un inconvénient.
n.f. (Administration) (Arts) (Métrologie) Écart toléré dans la dimension, la quantité, etc., des marchandises fournies.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de tolérancer.
v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de tolérancer.
n.f. Condescendance, indulgence, action de supporter ce que l’on ne peut empêcher ou que l’on croit ne pas pouvoir empêcher.
v. Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de tolérancer.
v. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de tolérancer.
n.f. (En particulier) (Religion) (Politique) Fait de ne pas s’opposer à des idées, à des positions différentes des nôtres.
n.f. (Biologie) Seuil maximal de la capacité d’un organisme à absorber des substances chimiques ou des conditions physiques particulières sans en être visiblement affecté.
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