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n.f. (Médecine) Diminution de l’élasticité des tissus contractiles.
n.f. (Figuré) Manque d’activité et de vigueur.
n.m. Diminution rapide, d’une durée plus ou moins longue, des forces physiques et des fonctions psychiques.
n.m. (Finance) Déduction à opérer par l’administration, en raison des charges de famille supportées par le contribuable, sur le chiffre des déclarations des revenus…
n.f. (Psychiatrie) Trouble mental caractérisé par une perte de la volonté et une grande difficulté à se décider, à agir (perte de l’initiative).
v. Participe passé féminin singulier de aboulir.
n.f. (Philosophie) Incapacité anormale du passage à l’action dans le vouloir.
n.f. (Vieilli) État d’une âme qui n’est susceptible d’aucune émotion ; impassibilité.
n.f. (Plus courant) Nonchalance, indolence.
n.m. État d’une personne assoupie.
n.m. (Figuré) Grande nonchalance, grande négligence pour ses devoirs, pour ses intérêts.
n.m. État intermédiaire entre la veille et le sommeil.
n.m. Action d’engourdir, état de ce qui est engourdi.
n.f. État d’une personne qui n’extériorise pas ses sentiments, ses états d’âme.
n.f. (En particulier) État d’une personne qui n’est pas sensible à l’amour.
n.f. (Par extension) Manque total d’intérêt pour une chose.
n.f. État d’une personne qui n’a aucun intérêt pour ce qui l’entoure.
n.f. Disposition à éviter tout effort, toute peine.
n.f. (Figuré) Manque absolu d’activité ou d’énergie.
n.f. (Didactique) État de ce qui est inerte.
n.f. (Physique) Résistance passive qu’opposent les corps du fait de leur masse au changement de l’état de repos ou de mouvement dans lequel ils se trouvent.
n.f. (Figuré) Résistance passive d’une personne, qui consiste principalement à ne pas obéir, à ne pas exécuter ce qui est commandé.
n.f. (Chimie) Absence de réaction chimique en présence d’une substance.
n.f. Absence de sensibilité.
n.f. (Médecine) Sommeil profond et continu qui donne au malade une apparence d’insensibilité complète.
n.f. (Figuré) Assoupissement ; torpeur.
n.f. (Figuré) Grande insensibilité, extrême nonchalance.
n.f. (En littérature) Manque de fermeté.
n.f. (Peinture) Défaut de fermeté dans le maniement du pinceau.
n.f. État de ce qui est mou.
n.f. (Sculpture) L’imitation vraie de la flexibilité, de la morbidesse des chairs.
n.f. (Quelquefois) Température douce et molle, en parlant du climat.
n.f. Délicatesse d’une vie efféminée.
n.f. Excès d’indulgence.
n.f. Complexion, tempérament mou, en parlant des personnes.
n.f. (Figuré) Manque de vigueur et de fermeté dans le caractère, dans la conduite, dans les mœurs.
n.f. (Médecine) Privation ou diminution considérable de la sensibilité et du mouvement volontaire.
n.m. (Plus rare) morceau, passage d’une lecture facile, destinés à procurer une détente à l’esprit du lecteur, en parlant des ouvrages de l’esprit.
n.m. Quiétude, tranquillité, exemption de toute peine d’esprit.
n.m. Sommeil.
n.m. (Architecture) Sorte de petit palier qui interrompt la suite des marches entre deux étages.
n.m. (Versification française) Césure placée à tel ou tel endroit du vers, pour marquer une pause, un arrêt.
n.m. (Au singulier) État où est une arme à feu, lorsque, le chien n’est ni abattu, ni bandé, mais maintenu par un cran spécial.
n.m. (Arts) Attitude des figures représentées sans mouvement ou avec peu de mouvement.
n.m. (Politique) Exemption de trouble, d’agitation ; tranquillité, en parlant des États.
n.m. Privation, cessation de mouvement, d’activité ou d’effort.
n.m. (Par ellipse) Le repos éternel, la mort.
n.m. Pause que l’on fait en prononçant un discours, en déclamant, en lisant à haute voix.
n.m. Cessation de travail, d’exercice, pour faire disparaître la fatigue.
n.m. (Militaire) (Par ellipse) Ordre donné pour suspendre l’exercice et permettre aux soldats de se délasser.
n.f. (Figuré)(Familier) Le fait de se faire prier longtemps avant de faire quelque chose.
n.f. (Par extension) (Électricité) (Électronique) Élément d’un circuit électrique qui remplit cette fonction.
n.f. Force permettant de résister à la fatigue, endurance.
n.f. (En particulier) Opposition armée à un envahisseur.
n.f. (En particulier) (Agriculture) (Pharmacologie) Perte ou absence de sensibilité d’un parasite ou d’une maladie aux moyens de traitement.
n.f. Défense que font les hommes, les animaux ou les micro-organismes contre ceux qui les attaquent.
n.f. (Figuré) Opposition aux desseins, aux volontés, aux sentiments d’un autre, ou à ses propres passions.
n.f. Obstacle, opposition, difficulté.
n.f. Qualité par laquelle un corps résiste à l’action d’un autre corps.
n.f. (En particulier) (Médecine) Capacité de survie d’un organisme face à une maladie.
n.f. (Botanique) Mécanisme de défense naturelle présent à l’état latent dans une plante, qui est activé après une attaque parasitaire.
n.f. (En particulier) (Physique) La force opposée par un corps aux diverses actions qui s’exercent sur lui.
n.f. (En particulier) (Électricité) Opposition de certains corps au passage d’un courant électrique.
n.f. État d’inertie, de songe, ou de torpeur, lié à la fatigue, à la chaleur ou au froid.
n.f. État de ce qui est stagnant.
n.f. (Figuré) (Économie) Absence de croissance, en parlant des revenus, des affaires de commerce ou de banque.
n.f. (Médecine) (Zoologie) Engourdissement, somnolence, ralentissement des fonctions vitales.
n.f. (Figuré) Engourdissement des facultés de l’esprit.
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